CONCERTS D'AUTOMNE
Friday
07
Sunday
16
Oct
Vendredi 14 octobre | Grand Théâtre | 20 h
Cosmopolitisme baroque au Portugal
Divino Sospiro | Massimo Mazzeo, dir.
Puissance mondiale à l’époque des grandes découvertes, le Portugal possédait déjà pendant la Renaissance et la période baroque un paysage musical riche et diversifié, dans lequel se reflétaient de nombreuses influences culturelles. L’ensemble Divino Sospiro, basé à Lisbonne, peint une image sonore chatoyante de ce panorama musical aujourd’hui méconnu. On y retrouve des compositeurs portugais du XVIIIe siècle, marqués par la rencontre avec les inventifs compositeurs italiens, dont Domenico Scarlatti. Manifestation organisée dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022.
Samedi 15 octobre | Grand Théâtre | 20 h
Haendel, Rinaldo.
Accademia Bizantina | Ottavio Dantone, dir.
Rinaldo est le premier opéra créé par Haendel à Londres en 1711. Très influencé par les traditions italiennes et françaises, cet opéra se révèlera comme l’un des plus populaires avec des pages inégalables comme l’aria « Lascia ch’io pianga ». Le chef italien Ottavio Dantone a réuni pour l’occasion une distribution de rêve avec entre autres Delphine Galou, Sophie Rennert et Carlo Vistoli. Accademia Bizantina a été récompensé en 2021 par les Gramophone Classical Music Awards dans la catégorie « meilleur orchestre au monde ».
Cosmopolitisme baroque au Portugal
Divino Sospiro | Massimo Mazzeo, dir.
Puissance mondiale à l’époque des grandes découvertes, le Portugal possédait déjà pendant la Renaissance et la période baroque un paysage musical riche et diversifié, dans lequel se reflétaient de nombreuses influences culturelles. L’ensemble Divino Sospiro, basé à Lisbonne, peint une image sonore chatoyante de ce panorama musical aujourd’hui méconnu. On y retrouve des compositeurs portugais du XVIIIe siècle, marqués par la rencontre avec les inventifs compositeurs italiens, dont Domenico Scarlatti. Manifestation organisée dans le cadre de la Saison France-Portugal 2022.
Samedi 15 octobre | Grand Théâtre | 20 h
Haendel, Rinaldo.
Accademia Bizantina | Ottavio Dantone, dir.
Rinaldo est le premier opéra créé par Haendel à Londres en 1711. Très influencé par les traditions italiennes et françaises, cet opéra se révèlera comme l’un des plus populaires avec des pages inégalables comme l’aria « Lascia ch’io pianga ». Le chef italien Ottavio Dantone a réuni pour l’occasion une distribution de rêve avec entre autres Delphine Galou, Sophie Rennert et Carlo Vistoli. Accademia Bizantina a été récompensé en 2021 par les Gramophone Classical Music Awards dans la catégorie « meilleur orchestre au monde ».
Dimanche 16 octobre | Grand Théâtre | 15 h
Amore Siciliano
Cappella Mediterranea | Leonardo García Alarcón
Amour, drame et trahison sous le soleil de Sicile, entre mélodies populaires et pièces des grands compositeurs. Formé par les maîtres européens les plus rigoureux, Leonardo García Alarcón n’en a pas moins conservé de son Argentine natale la fantaisie et l’amour du melodramma. Il reprend ici, avec ses complices musiciens et chanteurs de la Cappella Mediterranea, le flambeau du pastiche, consistant à créer une œuvre nouvelle en juxtaposant et retravaillant des pièces existantes de divers auteurs. Et l’on retrouve les yeux du public du sud de l’Italie, il y a trois siècles, pour suivre les malheurs de la pauvre Cecilia, dont la mélancolique chanson calabraise irrigue tout le drame…
Amore Siciliano
Cappella Mediterranea | Leonardo García Alarcón
Amour, drame et trahison sous le soleil de Sicile, entre mélodies populaires et pièces des grands compositeurs. Formé par les maîtres européens les plus rigoureux, Leonardo García Alarcón n’en a pas moins conservé de son Argentine natale la fantaisie et l’amour du melodramma. Il reprend ici, avec ses complices musiciens et chanteurs de la Cappella Mediterranea, le flambeau du pastiche, consistant à créer une œuvre nouvelle en juxtaposant et retravaillant des pièces existantes de divers auteurs. Et l’on retrouve les yeux du public du sud de l’Italie, il y a trois siècles, pour suivre les malheurs de la pauvre Cecilia, dont la mélancolique chanson calabraise irrigue tout le drame…