LE 66 !
Opéra en famille
Tuesday
15
Thursday
17
Oct
Placement numéroté
Mise en scène | Victoria Duhamel
Décors | Guillemine Burin des Roziers
Costumes | Emily Cauwet-Lafont
Arrangements | François Bernard
Lumières | Félix Bataillou
Régie générale | Ingrid Chevalier
Berthold, bateleur | Paul-Alexandre Dubois
Frantz, jeune Tyrolien | Flannan Obé
Grittly, jeune Tyrolienne | Lara Neumann
Clarinette | Rozenn Le Trionnaire
Trombone | Lucas Perruchon
Piano | Christophe Manien
Décors | Ateliers de l’Opéra de Tours
Costumes | Ateliers de l’Opéra de Tours et Emily Cauwet-Lafont
Décors | Guillemine Burin des Roziers
Costumes | Emily Cauwet-Lafont
Arrangements | François Bernard
Lumières | Félix Bataillou
Régie générale | Ingrid Chevalier
Berthold, bateleur | Paul-Alexandre Dubois
Frantz, jeune Tyrolien | Flannan Obé
Grittly, jeune Tyrolienne | Lara Neumann
Clarinette | Rozenn Le Trionnaire
Trombone | Lucas Perruchon
Piano | Christophe Manien
Décors | Ateliers de l’Opéra de Tours
Costumes | Ateliers de l’Opéra de Tours et Emily Cauwet-Lafont
« Et alors, si tu devenais riche ? »
LE TYROL A DU TALENT
Les Tyroliens Frantz et Grittly, musiciens ambulants et cousins, errent sur les routes du Wurtemberg et imaginent ce qu’ils pourraient s’offrir si le billet de loterie qu’ils ont en poche s’avérait gagnant. Cette rêverie bascule dans le réel alors qu’apparaît le colporteur Berthold qui connaît le résultat du tirage. Le numéro 66 permet au vainqueur de remporter 100 000 florins : c’est justement celui que Frantz pense posséder. Plutôt que d’utiliser ce gain inespéré pour venir en aide à Grittly et à sa soeur récemment veuve, Frantz emprunte la somme et part en ville pour la dilapider. L’ivresse de la richesse fait place au désespoir quand il se rend compte qu’il avait lu son numéro à l’envers : son billet est le 99… La morale – l’argent ne fait pas le bonheur des pauvres – séduit énormément le public bourgeois des Champs-Élysées. Pour la presse, l’ouvrage semble surtout une démonstration de force d’un Offenbach exhibant ses talents de compositeur. Il s’y réclame ouvertement de la tradition de l’opéra-comique français et propose des morceaux qui font mouche dès la première. L’arrangement original de François Bernard pour piano, clarinette et trombone et la mise en scène participative de Victoria Duhamel mettent en lumière toute la finesse et la dimension parodique de cette opérette en un acte.
LE TYROL A DU TALENT
Les Tyroliens Frantz et Grittly, musiciens ambulants et cousins, errent sur les routes du Wurtemberg et imaginent ce qu’ils pourraient s’offrir si le billet de loterie qu’ils ont en poche s’avérait gagnant. Cette rêverie bascule dans le réel alors qu’apparaît le colporteur Berthold qui connaît le résultat du tirage. Le numéro 66 permet au vainqueur de remporter 100 000 florins : c’est justement celui que Frantz pense posséder. Plutôt que d’utiliser ce gain inespéré pour venir en aide à Grittly et à sa soeur récemment veuve, Frantz emprunte la somme et part en ville pour la dilapider. L’ivresse de la richesse fait place au désespoir quand il se rend compte qu’il avait lu son numéro à l’envers : son billet est le 99… La morale – l’argent ne fait pas le bonheur des pauvres – séduit énormément le public bourgeois des Champs-Élysées. Pour la presse, l’ouvrage semble surtout une démonstration de force d’un Offenbach exhibant ses talents de compositeur. Il s’y réclame ouvertement de la tradition de l’opéra-comique français et propose des morceaux qui font mouche dès la première. L’arrangement original de François Bernard pour piano, clarinette et trombone et la mise en scène participative de Victoria Duhamel mettent en lumière toute la finesse et la dimension parodique de cette opérette en un acte.