LAURENT CAMPELLONE | PAUL MEYER
MOZART | BEETHOVEN
samedi
15
+
dimanche
16
mars
Wolfgang Amadeus Mozart
Don Giovanni, Ouverture
Concerto pour clarinette en la majeur
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 7 en la majeur
Don Giovanni, Ouverture
Concerto pour clarinette en la majeur
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 7 en la majeur
Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Clarinette | Paul Meyer
Direction musicale | Laurent Campellone
Clarinette | Paul Meyer
Direction musicale | Laurent Campellone
« Le génie n’est qu’une éloquence particulière, un don bruyant d’exprimer. » Marguerite Yourcenar, Alexis ou le Traité du Vain Combat, 1929
D’après la légende, l’ouverture de Don Giovanni aurait été écrite la veille de sa création. L’énergie qui s’en dégage ne laisse pourtant pas deviner la moindre précipitation : le caractère retors du protagoniste se dévoile sans jamais renoncer à la gaieté apparente. De gaieté, il en sera également question à travers tout le Concerto pour clarinette, écrit à l’origine pour cor de basset et dédié à l’ami de Mozart et éminent soliste, Anton Stadler. Le troisième mouvement retrouve la hâte brillante du premier, tandis que le deuxième mouvement offre une mélodie plus plaintive et intime, dans un contraste que Paul Meyer saura souligner avec justesse. Des sentiments tout aussi mitigés, voire contradictoires, seront exposés dans la Septième Symphonie de Beethoven. Son fameux allegretto, si poignant, prendra des allures de danse lyrique, sous la direction attentive de Laurent Campellone.
D’après la légende, l’ouverture de Don Giovanni aurait été écrite la veille de sa création. L’énergie qui s’en dégage ne laisse pourtant pas deviner la moindre précipitation : le caractère retors du protagoniste se dévoile sans jamais renoncer à la gaieté apparente. De gaieté, il en sera également question à travers tout le Concerto pour clarinette, écrit à l’origine pour cor de basset et dédié à l’ami de Mozart et éminent soliste, Anton Stadler. Le troisième mouvement retrouve la hâte brillante du premier, tandis que le deuxième mouvement offre une mélodie plus plaintive et intime, dans un contraste que Paul Meyer saura souligner avec justesse. Des sentiments tout aussi mitigés, voire contradictoires, seront exposés dans la Septième Symphonie de Beethoven. Son fameux allegretto, si poignant, prendra des allures de danse lyrique, sous la direction attentive de Laurent Campellone.
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