ALEXANDER BRIGER | SERGEI BABAYAN
RACHMANINOV | BRAHMS
samedi
01
+
dimanche
02
févr.
Sergueï Rachmaninov
Concerto pour piano N°3 en ré mineur, opus 30
Johannes Brahms
Symphonie N°2 en ré majeur, opus 73
Concerto pour piano N°3 en ré mineur, opus 30
Johannes Brahms
Symphonie N°2 en ré majeur, opus 73
Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Piano | Sergei Babayan
Direction musicale | Alexander Briger
Piano | Sergei Babayan
Direction musicale | Alexander Briger
« Je suis sur la terre comme dans une planète étrangère, où je serais tombé de celle que j’habitais. » Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782.
Ce concert sera placé sous le signe de l’héritage romantique. Au début du XXème siècle, Rachmaninov exprime son amour pour la mélodie, ainsi que son exigence pour le jeu pianistique. Dans son Concerto pour piano n°3, la partie soliste relève de la prouesse, au point que Rachmaninov, après avoir entendu le jeune Vladimir Horowitz exécuter son œuvre avec brio, se trouve lui-même indigne de la jouer. Sergei Babayan, interprète reconnu de ces concerti, saura relever le défi avec maîtrise. L’orchestre, dirigé par le chef australien Alexander Briger, neveu et élève de Charles Mackerras, conclura la soirée avec la Symphonie n°2 de Brahms. L’œuvre exprime la subtilité des développements thématiques chez Brahms, qui refusait d’y voir une musique légère et pastorale : au contraire, il livre à l’auditeur l’infinie mélancolie qui hante les Alpes autrichiennes.
Ce concert sera placé sous le signe de l’héritage romantique. Au début du XXème siècle, Rachmaninov exprime son amour pour la mélodie, ainsi que son exigence pour le jeu pianistique. Dans son Concerto pour piano n°3, la partie soliste relève de la prouesse, au point que Rachmaninov, après avoir entendu le jeune Vladimir Horowitz exécuter son œuvre avec brio, se trouve lui-même indigne de la jouer. Sergei Babayan, interprète reconnu de ces concerti, saura relever le défi avec maîtrise. L’orchestre, dirigé par le chef australien Alexander Briger, neveu et élève de Charles Mackerras, conclura la soirée avec la Symphonie n°2 de Brahms. L’œuvre exprime la subtilité des développements thématiques chez Brahms, qui refusait d’y voir une musique légère et pastorale : au contraire, il livre à l’auditeur l’infinie mélancolie qui hante les Alpes autrichiennes.