



PIERRE DUMOUSSAUD | STÉPHANIE-MARIE DEGAND
samedi
23
+
dimanche
24
nov.
Maurice Ravel
Tombeau de Couperin, Prélude
Camille Saint-Saëns
Havanaise
Francis Poulenc
Sinfonietta
Camille Saint-Saëns
Introduction et rondo capriccioso
Georges Bizet
Symphonie en ut majeur
Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Violon | Stéphanie-Marie Degand
Direction musicale | Pierre Dumoussaud
Violon | Stéphanie-Marie Degand
Direction musicale | Pierre Dumoussaud
« Je suis jeune, il est vrai; mais aux âmes bien nées,
La valeur n'attend point le nombre des années »
Pierre Corneille, Le Cid
La musique française au tournant des XIXe et XXe siècles sera à l’honneur lors de ce concert, placé sous la direction de Pierre Dumoussaud. Il s’ouvrira au son du Prélude au Tombeau de Couperin de Ravel, une pièce pour piano composée sur le front entre 1914 et 1917, ici donnée dans sa transcription pour orchestre. Nous remonterons ensuite le temps avec l’Introduction et Rondo Capriccioso de Saint-Saëns, qui explore l’énergie toute méditerranéenne du violon solo. Entre innovation et hommage à la période classique, la Sinfonietta de Poulenc prendra le relais, mais ne vous laissez pas abuser par le diminutif du mot italien… malgré sa brièveté, elle se déploie sur des rythmes enlevés et une apparente légèreté qui culmine dans le dernier mouvement, faussement naïf. La Symphonie en ut majeur de Bizet complètera ce tour d’horizon en laissant transparaître tout son talent et sa fougue… alors qu’il n’avait que dix-sept ans.
La valeur n'attend point le nombre des années »
Pierre Corneille, Le Cid
La musique française au tournant des XIXe et XXe siècles sera à l’honneur lors de ce concert, placé sous la direction de Pierre Dumoussaud. Il s’ouvrira au son du Prélude au Tombeau de Couperin de Ravel, une pièce pour piano composée sur le front entre 1914 et 1917, ici donnée dans sa transcription pour orchestre. Nous remonterons ensuite le temps avec l’Introduction et Rondo Capriccioso de Saint-Saëns, qui explore l’énergie toute méditerranéenne du violon solo. Entre innovation et hommage à la période classique, la Sinfonietta de Poulenc prendra le relais, mais ne vous laissez pas abuser par le diminutif du mot italien… malgré sa brièveté, elle se déploie sur des rythmes enlevés et une apparente légèreté qui culmine dans le dernier mouvement, faussement naïf. La Symphonie en ut majeur de Bizet complètera ce tour d’horizon en laissant transparaître tout son talent et sa fougue… alors qu’il n’avait que dix-sept ans.