DVOŘÁK
jeudi
06
+
vendredi
07
juin
Antonín Dvořák
Stabat Mater, op. 58
Soprano | Jiyoung Kim
Mezzo | Hagar Sharvit
Ténor | Artavazd Sargsyan
Basse | Jacques-Greg Belobo
Choeur de l’Opéra de Tours
Avec 14 musiciens
de l'Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction | David Jackson
Mezzo | Hagar Sharvit
Ténor | Artavazd Sargsyan
Basse | Jacques-Greg Belobo
Choeur de l’Opéra de Tours
Avec 14 musiciens
de l'Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction | David Jackson
En 1875, alors qu’il est encore peu connu, Dvořák se lance dans l’écriture d’une pièce sacrée qui ferait écho à sa propre douleur. En effet, il perd ses trois enfants à la même période et se tourne vers l’écriture chorale, tout en adaptant les codes liturgiques au drame qui touche alors sa famille. Après la création de l’oeuvre au Albert Hall de Londres, il écrit à un ami : « J'étais profondément ému par une ovation aussi sincère, je ne pouvais plus parler ; de toutes façons personne n'aurait pu me comprendre. » C’est pourtant une plainte universelle qu’il confie à l’orchestre, aux quatre solistes et au choeur : il s’agit moins d’évoquer l’au-delà que de tenter d’affronter l’ici-bas, malgré la perte.
Comme les poètes Victor Hugo ou Marceline Desbordes-Valmore, Dvořák se jette à corps perdu dans l’écriture, à la recherche d’un impossible apaisement.
Arrangements de David Jackson pour quatre solistes, choeur et 14 musiciens.
Comme les poètes Victor Hugo ou Marceline Desbordes-Valmore, Dvořák se jette à corps perdu dans l’écriture, à la recherche d’un impossible apaisement.
Arrangements de David Jackson pour quatre solistes, choeur et 14 musiciens.