Vincenzo Milletari | Vincent Boussard
GAETANO DONIZETTI (1797 - 1848)
vendredi
03
dimanche
05
mars
Rita | Patrizia Ciofi
Pépé | Léo Vermot-Desroches
Gasparo | Dietrich Henschel
Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction musicale | Vincenzo Milletarì
Mise en scène | Vincent Boussard
Décors | Dominico Franchi
Costumes | Christian Lacroix
Eclairages | Sylvia Vacca
Vidéaste | Nicolas Hurtevent
Pépé | Léo Vermot-Desroches
Gasparo | Dietrich Henschel
Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction musicale | Vincenzo Milletarì
Mise en scène | Vincent Boussard
Décors | Dominico Franchi
Costumes | Christian Lacroix
Eclairages | Sylvia Vacca
Vidéaste | Nicolas Hurtevent
Rita | Patrizia Ciofi
Pépé | Léo Vermot-Desroches
Gasparo | Dietrich Henschel
Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction musicale | Vincenzo Milletarì
Mise en scène | Vincent Boussard
Décors | Domenico Franchi
Costumes | Christian Lacroix
Eclairages | Sylvia Vacca
Vidéaste | Nicolas Hurtevent
Pépé | Léo Vermot-Desroches
Gasparo | Dietrich Henschel
Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours
Direction musicale | Vincenzo Milletarì
Mise en scène | Vincent Boussard
Décors | Domenico Franchi
Costumes | Christian Lacroix
Eclairages | Sylvia Vacca
Vidéaste | Nicolas Hurtevent
Le plaisir de perdre
« Une femme d’esprit est un diable en intrigue ; / Et, dès que son caprice a prononcé tout bas / L’arrêt de notre honneur, il faut passer le pas. »
Molière, L’École des femmes, III, 3, 1662.
Fort du succès de sa Lucie de Lammermoor en France, Donizetti collabore à nouveau avec le librettiste belge Gustave Vaëz pour Rita ou le mari battu, aussi appelé Deux hommes et une femme. Dans cette courte comédie, qui rappelle les intermèdes bouffons italiens, il ne s’agit pas de se battre pour obtenir la main de la femme aimée… mais de s’en débarrasser ! Rita règne d’une main de fer sur son auberge, n’hésitant pas à battre son époux Peppe au besoin. Lorsque Gasparo, son premier mari supposé mort, fait son entrée, les deux hommes entrent dans une compétition absurde afin de la quitter le plus vite possible. C’est sans compter la vigilance de Rita, qui rappellera qu’elle a toujours son mot à dire. Les costumes de Christian Lacroix sublimeront cette œuvre follement amusante.
« Une femme d’esprit est un diable en intrigue ; / Et, dès que son caprice a prononcé tout bas / L’arrêt de notre honneur, il faut passer le pas. »
Molière, L’École des femmes, III, 3, 1662.
Fort du succès de sa Lucie de Lammermoor en France, Donizetti collabore à nouveau avec le librettiste belge Gustave Vaëz pour Rita ou le mari battu, aussi appelé Deux hommes et une femme. Dans cette courte comédie, qui rappelle les intermèdes bouffons italiens, il ne s’agit pas de se battre pour obtenir la main de la femme aimée… mais de s’en débarrasser ! Rita règne d’une main de fer sur son auberge, n’hésitant pas à battre son époux Peppe au besoin. Lorsque Gasparo, son premier mari supposé mort, fait son entrée, les deux hommes entrent dans une compétition absurde afin de la quitter le plus vite possible. C’est sans compter la vigilance de Rita, qui rappellera qu’elle a toujours son mot à dire. Les costumes de Christian Lacroix sublimeront cette œuvre follement amusante.